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Ce Saint-Aubin est le fruit de l’assemblage des raisins d’une petite dizaine de parcelles de la partie ouest du vignoble. Situées en majorité dans les combes plus fraîches et tardives, elles bénéficient cependant d’expositions sud et sud-est favorisant une juste maturité du raisin : la pierre angulaire du travail d’Olivier sur laquelle il ne transige jamais. Une partie de ces parcelles fut longtemps plantée en pinot noir : dans les années 1990, Hubert Lamy et son fils Olivier décidèrent de replanter l’intégralité en chardonnay, convaincus de son adéquation parfaite avec ces terroirs.
Les sols légers et très caillouteux, à dominante calcaire, bien drainants (la pente peut aller jusqu’à 35% sur certaines parcelles) sont situés à une altitude assez élevée (plus de 300 mètres). Ils font merveille avec le chardonnay, qui va puiser cette tension minérale, crayeuse, que l’on retrouve avec bonheur dans le vin. Il y véhicule une enthousiasmante sensation de fraîcheur et d’énergie.
Sur ce millésime certes chaud et solaire mais aux équilibres proches de la perfection, la qualité exceptionnelle de la viticulture pratiquée par Olivier se ressent de bout en bout. La qualité des porte-greffes, l’enracinement en profondeur qui a permis à la vigne d’aller chercher dans les sous-sols fraîcheur et énergie, la gestion du palissage et du tressage des rameaux, permettant de protéger les raisins de la brûlure des rayons les plus chauds tout en activant la photosynthèse… Tout concourt à obtenir des raisins sains, mûrs et concentrés, et surtout parfaitement équilibrés. Ils sont imprégnés de cette prodigieuse tension acidulée, de cette énergie vibratoire qui font la marque des vins du Domaine.
Comme pour les Premiers Crus, Olivier prolonge désormais l’élevage du Saint-Aubin La Princée : il passe 1 an en grands fûts de 5 à 600 litres, puis près d’une année supplémentaire en cuves, jusqu’à sa mise en bouteille au début de l’été. Un allongement qui renforce encore la sensation d’équilibre souverain que dégage le vin et surtout sa capacité de garde, très au-dessus de la moyenne.
Dès le premier nez, malgré le caractère pourtant chaud et solaire du millésime, on est saisi par la fraîcheur et la finesse extraordinaire dont le vin fait preuve : le beurre frais et le yogourt brassé voisinent avec les fruits blancs croquants, pommes en tête, les petites fleurs blanches juste écloses s’accompagnent d’une note chlorophyllienne évoquant un green de golf que l’on vient d’arroser, le citron jaune s’acoquine avec une eau de lavande et une fine note mentholée.
En bouche, ce Saint-Aubin offre une matière fuselée et expressive, structurée autour de nombreux agrumes, entre orange sanguine, jus de citron, pamplemousse et mandarine. Des notes de jus de grenade et de fruit de la passion renforcent encore la fabuleuse sensation d’énergie qui traverse le corps tout entier. Le sol s’exprime dans un registre intensément épicé, où l’on distingue le gingembre, le poivre noir et une touche de Trévise. En rétro-olfaction, des saveurs gourmandes de confiture d’abricot et de marmelade viennent élargir le milieu de bouche, soulignant le caractère séveux du vin.
L’intensité de la finale est prodigieuse, tout comme son énergie, sa dynamique : chaque papille est électrisée par les agrumes, le poivre et une touche de réglisse, autant de saveurs qui prolongent la finale de longues secondes. D’ici deux à trois ans, ce Saint-Aubin La Princée sera parfait sur des noix de Saint-Jacques juste snackées, des cuisses de grenouilles, ou encore un plateau de fruits de mer faisant la part belle aux gros crustacés, araignée de mer ou tourteau…
Nous sommes seulement sur un « Village » et déjà, nous sommes embarqués très loin et très haut ! Chapeau l’artiste !
Quantité limitée à 3 bouteilles par client.
Date de disponibilité:
Intense minéralité et verticalité pour ce cru phare, non loin du grand cru Chevalier-Montrachet : Olivier signe un vin ancré dans la roche, aux accents fumés et salins, doté d’une incroyable énergie. Entre fraîcheur mentholée, maturité du fruit, éclats de noisette et épices raffinées, ce Remilly à la longueur spectaculaire possède un potentiel...
Concentré et sapide en bouche, avec un gros volume de fruit, ce Clos de la Chatenière issu de vieilles vignes, est parfaitement maintenu par une belle acidité structurante. La chair savoureuse du fruit s’enroule autour d’un axe salin, pierreux qui donne à la finale une percussion exceptionnelle. Plein et vibrant, ce Saint-Aubin 1er Cru ira loin.
Concentré et expressif, avec un gros volume de fruit, ce Clos de la Chatenière issu de vieilles vignes est parfaitement maintenu par une belle acidité structurante. Sa chair savoureuse s’enroule autour d’un coeur pierreux et empyreumatique très stimulant. La précision, l'énergie et l'élégante vibration de sa finale sont exceptionnelles : un must.
Cet intense Derrière chez Edouard offre un équilibre magistral entre densité et finesse, gourmandise fruitée et minéralité saline, fumée. On se régale de la chair savoureuse et fuselée de la poire, de la pêche blanche et de l’énergie tonique des agrumes. On balance entre le yin et le yang, dans une sensation d’énergie et de plénitude. Grand.
Elégant et tonique, ce cru offre une intensité de saveurs et une tension au laser qui font honneur aux sols de calcaires coquilliers dans lesquels les racines descendent en profondeur. Entre énergie des fruits à noyau et du citron vert, fraîcheur de la coriandre et du cerfeuil, longueur fuselée, aux accents fumés et salins : tout force l’admiration.
Concentré et intense, avec un gros volume de fruit, ce Clos de la Chatenière issu de vieilles vignes est parfaitement maintenu par une belle acidité structurante. Sa chair savoureuse s’enroule autour d’un axe salin, pierreux et iodé, qui lui donne des accents chablisiens. La précision et la vibration de sa finale sont exceptionnelles : un must.
Concentré et intense, avec un gros volume de fruit, ce Clos de la Chatenière issu de vieilles vignes est parfaitement maintenu par une belle acidité structurante. Sa chair savoureuse s’enroule autour d’un axe salin, pierreux et iodé, qui lui donne des accents chablisiens. La précision et la vibration de sa finale sont exceptionnelles : un must.
Intense minéralité et puissance fuselée pour ce cru phare situé non loin du grand cru Chevalier-Montrachet : Olivier signe un Remilly profondément ancré dans la roche, aux accents fumés mais aussi iodés, doté d’une incroyable énergie. L’élégance florale, la pureté du fruit et l’expression épicée du sol s’imbriquent comme par magie ! Immense.
Tonique, élégant et profond, ce cru des Frionnes offre une complexité et une tension qui subliment ce terroir au sol calcaire friable, dans lequel les racines descendent en profondeur. La vibration pierreuse mais aussi la fraîcheur iodée, le croquant des fruits blancs, le raffinement floral et anisé, l’énergie des agrumes, la persistance : tout force...
Taillé pour la garde, cet intense Derrière chez Edouard offre un équilibre magistral entre densité et finesse, subtile sensualité et minéralité pierreuse, fumée, volume texturé des fruits blancs et des fruits à noyau et énergie tonique des agrumes. On balance sans cesse entre le yin et le yang, dans une sensation d’harmonie et de plénitude. Somptueux.
En 2022, la verticalité, la vibration minérale et l’extraordinaire rebond de ce cru emblématique, voisin du Grand Cru Chevalier, s’enrichissent d’un supplément de texture et de gourmandise le rendant tout bonnement prodigieux. Sa complexité aromatique est fascinante, son allonge est spectaculaire, et son potentiel d’évolution, immense. Grand vin !
Par sa fraîcheur citronnée et sa pureté aromatique, son éclat lumineux, sa fluidité de bouche gorgée d’un fruit pulpeux, par sa fabuleuse énergie autour des agrumes et de notes épicées toniques, par la percussion saline de sa finale imprégnée par la roche : ce parcellaire Les Chataigners est grand et surclasse largement son appellation !
La Princée réunit le meilleur d’une dizaine de parcelles. Il séduit par ses arômes expressifs et gourmands de fruits blancs pochés, de confiture d’abricot, de zestes d’agrumes confits, d’ananas séché et de noisette. Charnu et fuselé, construisant longueur et sapidité autour d'une matière dense et d’une trame poivrée, il impressionne déjà.
Tonique, élégant et profond, ce cru des Frionnes offre une complexité et une tension qui subliment ce terroir au sol calcaire friable, dans lequel les racines descendent en profondeur. La vibration pierreuse mais aussi la fraîcheur iodée, le croquant des fruits blancs, le raffinement floral et anisé, l’énergie des agrumes, la persistance : tout force...
Un des crus les plus confidentiels signés Olivier Lamy, c’est aussi l’un des plus sensuels et gourmands. Belle réussite pour ce Clos de Meix charnu, équilibré, animé d’une splendide tension minérale. On aime le fruit autour de la poire et des fruits à noyau, l'équilibre parfait entre gras et fraîcheur acidulée, et le potentiel de garde : tout y est !
Taillé pour la garde, cet intense Derrière chez Edouard offre un équilibre magistral entre densité et finesse, subtile sensualité et minéralité pierreuse, fumée, volume texturé des fruits blancs et des fruits à noyau et énergie tonique des agrumes. On balance sans cesse entre le yin et le yang, dans une sensation d’harmonie et de plénitude. Somptueux.
En 2022, la verticalité, la vibration minérale et l’extraordinaire rebond de ce cru emblématique, voisin du Grand Cru Chevalier, s’enrichissent d’un supplément de texture et de gourmandise le rendant tout bonnement prodigieux. Sa complexité aromatique est fascinante, son allonge est spectaculaire, et son potentiel d’évolution, immense. Grand vin !
A la fois vertical, concentré et généreux, ce puissant Clos de la Chatenière est parfaitement maintenu par une belle acidité aux accents d’agrumes et une trame intensément épicée. La chair savoureuse des fruits blancs et des fruits à noyau s’enroule autour d’un axe pierreux salin, qui donne à la finale une percussion et une longueur exceptionnelles....
Climat "star" de Saint-Aubin, ce terroir au sol pauvre et très calcaire, surplombant le Chevalier-Montrachet, se distingue par l'intensité minérale et la puissance qu'il donne aux vins. Les saveurs sont concentrées, la texture est dense mais tendue par l’expression du sol épicée, saline et vibratoire. Un grand vin, à la persistance phénoménale.
Intense, concentré, ce fabuleux Puligny Les Tremblots se déploie dans un style à la fois vertical, gourmand et tonique. Entre herbes fines et fleurs du verger, fruits blancs et agrumes subtils, une empreinte crayeuse et un fascinant cocktail d’épices dignes de la maison Roellinger, ce vin à la dynamique étourdissante et la persistance hors-norme est un...
Issu de vignes plantées à 14 000 pieds, ce Chassagne parcellaire au-dessous des Champs Gains dévoile ses charmes dans un équilibre subtil entre sensualité, finesse et empyreumatisme. On aime sa chair fuselée, son fruit croquant et juteux, relevé d’agrumes, de fruit de la passion, de poivre Sichuan et d’une touche de réglisse. Précision, intensité...
Olivier a la chance d’exploiter deux petites parcelles sur deux fameux premiers crus de Chassagne-Montrachet, Les Macherelles et Les Chaumées. Ces cuvées extrêmement confidentielles brillent en 2020 d’une puissance fuselée et d’un éclat magnétique inouï. Deux très grands flacons à encaver au moins 6 ou 8 ans. Collectors absolus.