Nouveau
Le rosé est rare au Mas Jullien, et pourtant, le rosé y est tout simplement excellent : charmeur et fringant, croquant et juteux, dense et magnifiquement structuré, il est irrésistible !
Après une année 2021 où une bonne partie du vignoble de Jonquières avait été durement frappée par le gel, 2022 s’est présentée sous de bien meilleurs auspices. Les mois de mars et avril, bien arrosés, ont permis de bien reconstituer les réserves hydriques qui s’avéreront très utiles par la suite. A partir de la fin du mois de juin, la vigne est en effet entrée « dans un tunnel de chaleur », comme le dit Olivier, qui a forcé la plante à puiser dans ses réserves. Heureusement, le 16 août, une bonne pluie orageuse a permis d’éviter tout blocage de maturité par manque d’eau. Au final, c’est une très belle récolte qui est entrée dans la cuverie en septembre, avec des jus fins et intenses, aux aromatiques jaillissantes.
Cette année, le rosé assemble principalement cinsault, carignan et mourvèdre (ce-dernier trouve ici la limite septentrionale de sa culture et donne son expression la plus fine), et quelques « autres cépages mystérieux » selon les mots d’Olivier. Bien sûr, ici, comme partout sur le domaine, viticulture biologique et bio-dynamie sont la règle depuis de nombreuses années déjà. Soucieux d’élaborer un vin réellement taillé pour la table, imprégné par son terroir et ses sols assez profonds de cailloutis calcaires et d’argiles, Olivier veille toujours à limiter les rendements de ses vignes.
Ce rosé est obtenu à partir du jus de saignée, après 12 à 24 heures de macération en cuves, assemblé ensuite au reste du jus de presse. La fermentation et l’élevage se poursuivent dans de petites cuves, sur lies fines, jusqu’au printemps de l’année suivante. Ce tout nouveau 2022 a été mis en bouteille en avril.
Habillé d’une robe au rose profond, il se dévoile dans un magnifique jaillissement de fruits entremêlés, à la fois bien mûrs et énergiques : on reconnaît la pâte de coing, une évocation de tarte aux quetsches, la tomate bien mûre, l’orange de Valence, le pomelo, la confiture de fraises ou de cerises ou encore la grenade. Quel régal…
En deuxième rideau, fraîcheur chlorophyllienne et douceur florale se font une place, sur des notes de pomme de pin et de pinède, d’eucalyptus et de laurier, de thym frais mais aussi de bougainvilliers. On finit sur une délicieuse touche de confiture de tomate…
En bouche, on trouve à la fois une jolie profondeur, sur des tannins bien mûrs, et beaucoup de souplesse : le toucher est dense et destine clairement ce vin à la table. On se régale de saveurs de cerise, de quetsche et de prune rouge, mais aussi d’abricot sec, de gelée de coing, le tout relevé de notes fraîches de réglisse et de menthe qui prolongent la finale. Un doux parfum de violette émane maintenant du verre… C’est un délice.
A table, on imagine aujourd’hui un carpaccio de veau, des tricandilles bordelaises ou un épigramme d’agneau grillés au barbecue. L’année prochaine, que diriez-vous d’un plat de petits farcis à la niçoise ou d’une Paella Valenciana (à la viande uniquement) ? Pour nous, c’est un grand oui !
Date de disponibilité:
93/100
A propos du domaine : Depuis 1985, Olivier Jullien défriche inlassablement pour trouver de nouveaux terroirs et faire briller les Terrasses du Larzac. Ce vigneron inspiré, éloquent, toujours en quête de découverte, a montré la voie vers une viticulture intelligente, respectueuse et passionnée. Sa démarche teintée d'honnêteté, d'amour pour le lieu et pour ses nuances, suscite à juste titre l'admiration de ses pairs. Les cépages ont changés de nombreuses fois depuis le début de l'aventure, le parcellaire aussi, Olivier ayant découvert de nouveaux grands terroirs à révéler. Pour autant la trame reste. Les vins rouges sont droits, frais, crayeux, structurés, souvent réservés dans leur jeunesse, mais d'une race et d'une brillance à part. Jamais en démonstration aromatique, verticaux, étirés, ils parlent le langage du lieu, ils vieillissent à merveille, sans prendre de ride, et démontrent après une bonne dizaine d'années toute leur plénitude. Quant au blanc, il a un éclat, une salinité et une patine incomparables. À l'instar des rouges, il défie le temps avec insolence et semble immortel. Un domaine unique, par sa sensibilité, les vins produits et le chemin parcouru.
Sensuel et poétique, le fameux Palette rosé du non moins fameux Château Simone nous plonge dans un univers de « luxe, de calme et de volupté », pour paraphraser le célèbre vers de Baudelaire. Floral et gourmand, gorgé de fruits rouges, texturé et crémeux en bouche, merveilleusement sapide, il évoluera parfaitement sur 10 ans.
Ce Bandol, véritable légende de l'appellation, dévoile un bouquet fascinant de complexité épicée et minérale. En bouche, la matière est ample, élastique, gorgée de saveurs de quetsche et de mandarine. La dimension épicée, sur la menthe fraîche, la badiane, le poivre vert ou la pomme de pin apporte ce supplément d’énergie qui nous fait chavirer.
Le rosé est rare au Mas Jullien, et pourtant, le rosé y est tout simplement excellent : charmeur et fringant, croquant et juteux, souple et magnifiquement structuré, il est irrésistible ! En bouche, la rondeur généreuse de l’entame est parfaitement balancée par de fins amers évoquant l’amande fraîche et les peaux d’agrumes. Gastronomique !
Ce Bandol, véritable légende de l'appellation, dévoile un bouquet fascinant de complexité florale, épicée et iodée. A la fois charnu et vertical en bouche, il offre de parfaits équilibres imbriquant son fruit jaillissant et le sol. L’énergie et la longueur de la finale sont magiques. Voici les toutes dernières bouteilles du millésime !
Ce Bandol 2020 jaillissant et kaléidoscopique est un véritable concentré d’énergie. D’une incroyable intensité aromatique, entre pinède, garrigue, fruits à noyau, agrumes frais et toniques, réglisse et embruns iodés, il nous emporte avec une force peu commune. Un très grand millésime chez Tempier, à attendre si possible jusqu’à la fin août !
Le rosé est rare au Mas Jullien, mais excellent : charmeur et fringant, avec ses notes de fruits rouges acidulés, de violette, de thym, d’eucalyptus, de grenade et de tomate bien mûre, il nous ravit par son croquant et sa souplesse de bouche, avec sa finale dynamisée par de fins amers. Encore très jeune, il nous régalera avec un carpaccio de veau.
Une rareté absolue qu’Olivier Jullien nous fait le plaisir de partager avec vous : son dernier « Rosé d’Antan » remontait à… 1991. Vinifié en jarre et élevé en fûts "comme un rouge", ce Rosé gastronomique nous fait voyager dans de mystérieuses contrées, entre un Marsannay, un passetoutgrain de Vosne-Romanée et un Maury ! Sensuel et unique.
Autre grand classique parmi les rosés de terroir et de gastronomie, ce Clos Canarelli, absolument incontournable, met à l’honneur deux cépages endémiques : sciaccarellu et niellucciu (complétés de grenache). Expressif, élégant, porté par l'éclat lumineux de son fruit, sa chair délicate et son dynamisme, il vous régalera avec un loup au fenouil.
Un pur rosé de plaisir, qui met à l'honneur le tannat, cépage emblématique des vignobles du piémont Pyrénéen, complété de cabernet-franc et cabernet-sauvignon. A la fois frais et sensuel, très pur dans ses arômes d'agrumes, de fruits blancs et de fruits rouges acidulés, cet Irouléguy porte en lui une belle énergie épicée, aux accents poivrés.
Quelle belle ode au braquet, cépage endémique du vignoble niçois, avec ce Clos 2020 d'une superbe complexité aromatique : amande torréfiée et pierre à fusil, orange sanguine et poivre vert, une touche iodée et corsée, le bonbon à la violette, l'essence de rose, la fraise gariguette, la groseille et la framboise fraîche, la pêche et l'abricot. Un must...
Jean-François Ganevat nous gratifie aujourd’hui d’un « pétillant naturel » rosé, au fruité jaillissant et à l’énergie franchement communicative. Assemblage de poulsard jurassien et de gamay du Beaujolais, cette "bubulle" swingue sur le palais, avec son lot de fruits frais et cette touche saline salivante : elle nous donne furieusement envie d’y revenir...
Belle ode au braquet, cépage endémique du vignoble niçois, ce Clos offre une aromatique complexe. Ecorce d’orange, pomelo, fruits blancs, mûre, pinède, olive, ortie, yerba maté, verveine, sauge, mais aussi des notes de légumineuses, de radis ou de potimarron : un vin puissant et expressif, pour des linguine alle vongole ou des rougets grillés.
Une rareté signée Olivier Jullien. Vinifié en jarre et élevé en fûts "comme un rouge", ce Rosé d’une délicatesse infinie nous plonge dans un univers de douceur et de sensualité. Sa volupté florale, la pureté de son fruit entre fraise, cerise, tomate, coing et pomelo, son énergie épicée autour de la réglisse, de la menthe ou du laurier : tout séduit.
Dense, sensuel, habillé d’une robe évoquant le jus d’hibiscus, le fameux Palette rosé nous plonge dans un univers de volupté. Floral et gourmand, gorgé de saveurs de cerises, de prune rouge, de groseille et de melon d’eau mais aussi de rose, de pivoine, de sucre glace, d’orange confite et d’herbes de Provence, il évoluera sur 10 ans. Grand vin.
Tempier plonge ses racines dans une mosaïque de parcelles en restanques qui confère à ce rosé une palette organoleptique unique, entre fruits à chair blanche et orange parfaitement mûre. Le tout reste immensément frais et vif. Ce 2021 révèle mourvèdre et grenache d’une grande finesse et dessine les contours d’un rosé taillé pour la table.
Aux antipodes du rosé technique et passe-partout, ce Faustine issu de sciaccarellu est un pur bijou d’énergie, de souplesse et d’éclat de fruits, animé sans cesse par l’expression délicatement épicée des sols granitiques. Entre gourmandise raffinée et dynamisme communicatif, il vous régalera sur des antipasti de légumes et fruits de mer.
Grand classique parmi les rosés de terroir et de gastronomie, ce Clos Canarelli met à l’honneur deux cépages endémiques : sciaccarellu et niellucciu (complétés de grenache). Expressif, élégant, porté par l'éclat de son fruit, sa chair délicate et son dynamisme, il vous régalera avec des tempuras de crevette accompagnés d'une sauce aigre-douce.
Gros coup de coeur pour cette nouvelle cuvée du Domaine phare du Cap Corse : un assemblage de sciaccarellu et nielluciu, expressif et jaillissant, parcouru d'un élan salin et empyreumatique puisé aussi bien dans le sol grantique que dans les vents marins omniprésents. On plonge dans le fruit et la roche avec le même plaisir. Superbe pour la table
Le grand rosé de gastronomie vu par Jean-Charles Abbatucci offre une belle intensité aromatique et une bouche texturée et soyeuse, d’une sapidité et d’une longueur rares dans cette couleur. Un bel hommage au rare cépage Carcajola Nero, qui brillera sur une cuisine aromatique comme une lotte au safran ou un tajine de mérou. Majeur!
Tempier plonge ses racines dans une mosaïque de parcelles en restanques qui confère à ce rosé une palette organoleptique unique, entre fruits à chair blanche et orange parfaitement mûre. Le tout reste immensément frais et vif. Ce 2021 révèle mourvèdre et grenache d’une grande finesse et dessine les contours d’un rosé taillé pour la table.
Incontournable parmi les rosés de terroir, ce Clos Canarelli met à l’honneur deux cépages endémiques : sciaccarellu et niellucciu. Un vin au bouquet sophistiqué, porté par une expression du sol poivrée et poudrée. La grenade et les fruits rouges acidulés croisent les écorces d’agrumes, la lavande, la sauge et les fleurs lascives. Irrésistible.
Un des rosés les plus sensuels et puissants de nos vignobles ! Assemblage singulier de nombreux cépages dont les rares manosquin, castets, carignan ou muscat, il possède une ampleur gourmande incroyable où se mêle confitures de fruits rouges, coulis de cassis, agrumes confits, miel, herbes de Provence, dans une ambiance qui pinote sérieusement. Grand...
Le domaine Arretxea signe un rosé frais et fringant, d’une irrésistible gourmandise. Un Irouléguy qui fait la part belle au tannat, empreint de ses fameux sols de grès rouge. Les notes enjôleuses de fruits rouges se conjuguent magnifiquement avec des expressions plus minérales, salines et des amers élégants. C’est succulent et dense. On a faim !
La cuvée Faustine est issue d’une sélection de sciaccarellu sur les sols d’arènes granitiques de la vallée du Taravo. Ce rosé, élevé sur lies, confirme qu’ici on élabore de grands rosés structurés, vifs et élégants, gorgés de fruits rouges jaillissants, de fleurs suaves et d’herbes fines. Le sol dépose sur le palais un voile poudré. Un délice.
Ce Bandol à l’aromatique jaillissante est un concentré d’énergie. D’une incroyable intensité aromatique, entre fraise, framboise, fruits à noyau, zestes d’agrumes, mais aussi l’estragon, le poivre noir, la noix de muscade et la réglisse, le lilas ou le suc de violette, il nous emporte dans une valse endiablée. Un grand millésime chez Tempier !
Isabelle et Vincent Gourmard nous gratifient d’un superbe rosé à la robe chatoyante, qui marie la gourmandise avec une énergie interne enthousiasmante. Assemblage de mourvèdre, cinsault et grenache, il évoque une brassée de fleurs fraîches, les fruits rouges mûrs, les fruits à noyau, la tomate et le thym. Ample et tonique, il vaut le détour!
Coup de coeur pour cette cuvée identitaire du Cap Corse : un assemblage de sciaccarellu et nielluciu, expressif et jaillissant, parcouru d'un élan salin et empyreumatique puisé aussi bien dans le sol granitique que dans les vents marins omniprésents. On plonge dans le fruit, les herbes du maquis et la roche avec le même plaisir. Superbe.
Ce rosé du Mas Jullien à la robe vieux rose si identitaire, nous plonge avec délice dans un univers mêlant raffinement et gourmandise : tartelette aux cerises, soupe de fraises à la menthe, baies roses, gelée de groseille et de myrtille, tomate cerise, mais aussi l’aiguille de pin, le thym, la baie de genièvre ou le gingembre : un ravissement.
Ce bijou, pur sciacarellu élevé 18 mois en foudres et demi-muids, nous montre avec un brio incomparable que Gérard Courrèges est un vigneron sans pareil, capable de livrer de grands vins de terroir et de garde dans les 3 couleurs ! La complexité, l’éclat aromatique et la profondeur de ce Rosé n’ont pratiquement pas d’équivalent. Indispensable.
Gérard Courrèges est un véritable magicien lorsqu’il s’agit de faire briller le sciaccarellu, ce cépage autochtone qui a largement contribué à faire de Vaccelli une adresse culte pour les amateurs de grands vins de lieu, au raffinement incomparable. Ce rosé iconique nous le rappelle avec brio. Un grand vin identitaire, et résolument gastronomique.
Ce bijou, pur sciacarellu élevé 18 mois en foudres et demi-muids, nous montre avec un brio incomparable que Gérard Courrèges est un vigneron sans pareil, capable de livrer de grands vins de terroir et de garde dans les 3 couleurs ! La complexité, l’éclat aromatique et la profondeur de ce Rosé n’ont pratiquement pas d’équivalent. Indispensable.
Gérard Courrèges est un véritable magicien lorsqu’il s’agit de faire briller le sciaccarellu, ce cépage autochtone qui a largement contribué à faire de Vaccelli une adresse culte pour les amateurs de grands vins de lieu, au raffinement incomparable. Ce rosé iconique nous le rappelle avec brio. Un grand vin identitaire, et résolument gastronomique.
Un des rosés les plus complets de nos vignobles ! Assemblage singulier de nombreux cépages dont les rares manosquin, castets, carignan ou muscat, il possède une ampleur de bouche incroyable où se mêle cerise au kirsch, confiture de fraise ou de quetsche, datte, agrumes confits, rose séchée, herbes de Provence, menthe ou aiguille de pin. Monumental.
Ce Bandol à l’aromatique mûre et gourmande est un concentré d’énergie. D’une incroyable intensité aromatique, entre fraise, framboise, abricot, zestes d’agrumes, mais aussi l’estragon, le poivre noir, l’amande et la réglisse, la pivoine ou la violette, il nous emporte dans une valse endiablée. Un autre grand millésime chez Tempier !