Le prestigieux Domaine Hubert Lamy s’est installé au fil des années comme l’un des meilleurs ambassadeurs des terroirs de Saint-Aubin, qui, même s’ils sont encore un peu moins célèbres que leurs voisins de Chassagne et Puligny-Montrachet, donnent aujourd’hui parmi les vins blancs les plus fins, les plus intenses et racés de la Côte d’Or.
Plus encore, depuis ses débuts en 1996, Olivier Lamy a gravi avec une admirable constance les marches qui l’ont mené au sommet. Aujourd’hui, son travail, à la vigne comme au chai, est unanimement respecté pour son extrême précision et son sens du détail peu commun. Deux conditions indispensables pour parvenir à ce niveau exceptionnel de maîtrise et de régularité : la finesse des vins d’Olivier, leur intensité, la pureté avec laquelle ils expriment chaque nuance du terroir, tout comme leur énergie interne et leur formidable capacité au vieillissement, les placent aujourd’hui au sommet de ce que la Côte de Beaune est capable de livrer de plus grand.
Fondé en 1973 – il proposait à l’époque essentiellement des vins d’appellation régionale - le Domaine a pris son envol dans les années 1990. A cette époque Hubert Lamy, rejoint en 1996 par son fils Olivier, commence à élaborer des cuvées parcellaires sur les meilleurs climats de Saint-Aubin en 1er cru, comme Murgers des Dents de Chien ou En Remilly, tout près de Puligny, ou, du côté du hameau de Gamay, le Clos de La Chatenière. En outre, Hubert, fort visionnaire, décide de planter en chardonnay d’anciennes parcelles traditionnellement cultivées en pinot noir, comme La Princée ou Derrière chez Edouard. Bien lui en a pris, tant les blancs de Saint-Aubin connaissent depuis un succès grandissant… et largement mérité.
Ici, calcaires et chardonnay s’unissent pour le meilleur : qu’il soit planté sur les hauts de coteaux de marnes blanches assez souples, ou, plus bas, sur des calcaires durs plus ou moins décomposés, ou encore sur les sols de calcaires coquilliers qui surplombent le village, le raisin trouve une intensité minérale et des équilibres de structure tout simplement irrésistibles.
Par la suite, Olivier a œuvré sans relâche à affiner considérablement le style des vins du Domaine. Il a fait sensiblement évoluer les pratiques culturales et les méthodes de vinification et d’élevage, poursuivant toujours le même objectif : trouver le meilleur équilibre possible entre structure et finesse, à la recherche d’une pureté d’expression du fruit et du sol la plus aboutie possible. On lui doit ainsi d’avoir généralisé progressivement des plantations à haute voire très haute densité (jusqu'à 30000 pieds par hectare sur certaines parcelles !). Une pratique dont il a rapidement constaté qu’elle favorisait une limitation naturelle des rendements, en renforçant la concurrence entre les pieds, mais aussi et surtout l’enracinement en profondeur de la vigne avec tous les bénéfices que cela comporte (une meilleure résistance au stress hydrique, une plus grande imprégnation minérale des raisins…).
De même, il adapte ses techniques de taille pour limiter au maximum les plaies et ne pas entraver les flux de sève. Il abandonne peu à peu le rognage, favorisant des méthodes plus douces et moins stressantes pour la plante de palissage haut et de tressage des rameaux. Cette pratique, déjà mise en place depuis longtemps par une figure tutélaire et inspirante de la Bourgogne, Lalou Bize-Leroy, favorise la photosynthèse et concentre l'énergie de la plante vers le raisin. Là encore, aucune lubie de la part d’Olivier, mais un sens aigu de l’observation : il a ainsi constaté que les raisins produits étaient certes plus petits mais bien plus concentrés dans leur aromatique. De petits raisins qui ont le goût du lieu qui les a vu naître.
On retrouve chez lui cette même capacité à se remettre en question au chai : tout à sa recherche de pureté et d’équilibre, il a progressivement réduit la part de bois neuf (jusqu’à l’éliminer complètement sur certains crus et certains millésimes). Il privilégie aujourd'hui les grands contenants de 500 et 600 litres, au détriment des traditionnelles pièces bourguignonnes qui ont tendance à marquer davantage les vins, surtout les blancs, et à adoucir un peu trop cette tension naturelle qui contribue à l’identité des meilleurs terroirs de Saint-Aubin et qu’Olivier cherche bien sûr à préserver. Il a surtout allongé les élevages, tout en diminuant, en parallèle, le recours au bâtonnage : tous les premiers crus passent désormais une année complète en grands fûts, suivie d’une année supplémentaire en cuves, jusqu’à la mise en bouteille en juillet et en août, juste avant les vendanges. Là encore, Olivier n’a pas pris cette décision à la légère : il teste cette orientation depuis 2006, cru par cru, mois supplémentaire par mois supplémentaire. Constatant finalement que les vins ainsi élevés évoluent encore mieux dans le temps, se minéralisent et reflètent encore plus précisément l’identité de chaque terroir.
C’est dans cette optique d’élevages plus longs, mais aussi d’affinage d’une partie des cuvées en bouteille, pendant quelques années, que Karine et Olivier se sont dotés de nouvelles caves de stockage, inaugurées avec le millésime 2023. Là encore, chaque détail a été minutieusement étudié, pour un « confort » maximal de chaque fût et de chaque bouteille. Jusqu’au choix de l’éclairage avec des leds anti-goût de lumière… Vous l’aurez compris : malgré la consécration mondiale de ses vins, sur toutes les plus grandes tables et dans toutes les plus belles caves, Olivier n’est pas prêt de se reposer sur ses lauriers, tout à sa recherche d’une certaine idée de la perfection des équilibres, de la pureté, du goût originel.
Venons-en à ce déjà fameux millésime 2022 que nous avons le plaisir de vous proposer aujourd’hui. Un millésime unanimement salué pour sa belle maturité, son équilibre et son incroyable énergie que l’on n’attendait pourtant pas forcément sur une année précoce et solaire : disons-le tout net, ici, les blancs atteignent des sommets vertigineux !
Pourtant, tout a commencé par une belle frayeur : encore traumatisé par le gel dévastateur d’avril 2021, Olivier a vu les températures descendre dangereusement dans la nuit du 10 avril, jusqu’à -6° dans le secteur des Frionnes. Heureusement, un débourrement un peu plus tardif que l’année passée, couplé à un temps resté sec et venteux, ont permis d’éviter le pire. Les dégâts sont restés très limités.
Le mois de mai fut ensuite marqué par l’absence d’eau et des températures élevées, les plus chaudes depuis 50 ans. Une mi-floraison au 24 mai annonçait une récolte précoce. Quelques bonnes pluies orageuses en juin ont apporté l’eau nécessaire pour éviter trop de stress hydrique pendant la période estivale. En effet, les pics caniculaires se sont ensuite succédé tout au long du mois de juillet. Une bonne pluie tombée le 18 août a fait beaucoup de bien au vignoble de Saint-Aubin et Chassagne-Montrachet, surtout pour les terroirs aux sols minces et pierreux, où l’on commençait à voir des signes de stress de la plante. Les vignes ont pu peaufiner les maturités des baies, sans encombre, jusqu’aux vendanges qui ont débuté dès le 25 août.
Si l’état sanitaire des raisins était superbe, les rendements restaient tout de même assez faibles, par manque d’eau sur les terroirs les plus pierreux et drainants en particulier. Une garantie de jus denses et concentrés, aux équilibres mûrs mais aussi porteurs d’une sensation de fraîcheur, d’une prodigieuse énergie interne que l’on n’attendait pas forcément sur ce millésime. Quant aux degrés d’alcool potentiels, ils étaient à leur optimum pour les blancs, autour de 13°.
Il ne lui restait plus, par la suite, qu’à faire parler sa science incomparable des élevages, parfaitement ajustés et pratiquement sans bois neuf (moins de 2%), au service du fruit, de l’identité du sol et de celle du millésime. Des élevages longs, sur lies totales puis sur lies fines, dans les caves fraîches et humides du Domaine, qui préservent admirablement l'énergie interne du vin et sont aussi à l’origine de l’extraordinaire capacité de vieillissement des vins signés Hubert Lamy.
Cette collection de blancs nous a éblouis : mûrs et intenses, fuselés et prodigieusement toniques, ciselés dans la roche mais brillant d’un éclat fruité d’une pureté absolue, ils rayonnent déjà et possèdent un potentiel de garde phénoménal. Un sommet de précision qui confirme la place d’Olivier Lamy parmi les vignerons les plus doués de sa génération, une des plus grandes signatures actuelles de la Bourgogne. Le journaliste spécialisé William Kelley, expert de la Bourgogne pour le célèbre magazine Wine Advocate, n’hésite pas à écrire qu’il voit en lui "un des 3 meilleurs producteurs de blancs de la Côte d’Or »… La preuve par le vin !
En prime, Karine et Olivier nous ont confié quelques rares flacons et grands formats issus de millésimes plus anciens, directement sortis de leur vinothèque. Collectors absolus.
Olivier a la chance d’exploiter deux petites parcelles sur deux fameux premiers crus de Chassagne-Montrachet, Les Macherelles et Les Chaumées. Ces cuvées extrêmement confidentielles brillent en 2020 d’une puissance fuselée et d’un éclat magnétique inouï. Deux très grands flacons à encaver au moins 6 ou 8 ans. Collectors absolus.
Issu de vignes plantées à 14 000 pieds, ce Chassagne parcellaire au-dessous des Champs Gains dévoile ses charmes dans un équilibre subtil entre sensualité, finesse et empyreumatisme. On aime sa chair fuselée, son fruit croquant et juteux, relevé d’agrumes, de fruit de la passion, de poivre Sichuan et d’une touche de réglisse. Précision, intensité...
Intense, concentré, ce fabuleux Puligny Les Tremblots se déploie dans un style à la fois vertical, gourmand et tonique. Entre herbes fines et fleurs du verger, fruits blancs et agrumes subtils, une empreinte crayeuse et un fascinant cocktail d’épices dignes de la maison Roellinger, ce vin à la dynamique étourdissante et la persistance hors-norme est un...
Climat "star" de Saint-Aubin, ce terroir au sol pauvre et très calcaire, surplombant le Chevalier-Montrachet, se distingue par l'intensité minérale et la puissance qu'il donne aux vins. Les saveurs sont concentrées, la texture est dense mais tendue par l’expression du sol épicée, saline et vibratoire. Un grand vin, à la persistance phénoménale.
A la fois vertical, concentré et généreux, ce puissant Clos de la Chatenière est parfaitement maintenu par une belle acidité aux accents d’agrumes et une trame intensément épicée. La chair savoureuse des fruits blancs et des fruits à noyau s’enroule autour d’un axe pierreux salin, qui donne à la finale une percussion et une longueur exceptionnelles....
En 2022, la verticalité, la vibration minérale et l’extraordinaire rebond de ce cru emblématique, voisin du Grand Cru Chevalier, s’enrichissent d’un supplément de texture et de gourmandise le rendant tout bonnement prodigieux. Sa complexité aromatique est fascinante, son allonge est spectaculaire, et son potentiel d’évolution, immense. Grand vin !
Taillé pour la garde, cet intense Derrière chez Edouard offre un équilibre magistral entre densité et finesse, subtile sensualité et minéralité pierreuse, fumée, volume texturé des fruits blancs et des fruits à noyau et énergie tonique des agrumes. On balance sans cesse entre le yin et le yang, dans une sensation d’harmonie et de plénitude. Somptueux.
Un des crus les plus confidentiels signés Olivier Lamy, c’est aussi l’un des plus sensuels et gourmands. Belle réussite pour ce Clos de Meix charnu, équilibré, animé d’une splendide tension minérale. On aime le fruit autour de la poire et des fruits à noyau, l'équilibre parfait entre gras et fraîcheur acidulée, et le potentiel de garde : tout y est !
Tonique, élégant et profond, ce cru des Frionnes offre une complexité et une tension qui subliment ce terroir au sol calcaire friable, dans lequel les racines descendent en profondeur. La vibration pierreuse mais aussi la fraîcheur iodée, le croquant des fruits blancs, le raffinement floral et anisé, l’énergie des agrumes, la persistance : tout force...
La Princée réunit le meilleur d’une dizaine de parcelles. Il séduit par ses arômes expressifs et gourmands de fruits blancs pochés, de confiture d’abricot, de zestes d’agrumes confits, d’ananas séché et de noisette. Charnu et fuselé, construisant longueur et sapidité autour d'une matière dense et d’une trame poivrée, il impressionne déjà.
Par sa fraîcheur citronnée et sa pureté aromatique, son éclat lumineux, sa fluidité de bouche gorgée d’un fruit pulpeux, par sa fabuleuse énergie autour des agrumes et de notes épicées toniques, par la percussion saline de sa finale imprégnée par la roche : ce parcellaire Les Chataigners est grand et surclasse largement son appellation !
En 2022, la verticalité, la vibration minérale et l’extraordinaire rebond de ce cru emblématique, voisin du Grand Cru Chevalier, s’enrichissent d’un supplément de texture et de gourmandise le rendant tout bonnement prodigieux. Sa complexité aromatique est fascinante, son allonge est spectaculaire, et son potentiel d’évolution, immense. Grand vin !
Taillé pour la garde, cet intense Derrière chez Edouard offre un équilibre magistral entre densité et finesse, subtile sensualité et minéralité pierreuse, fumée, volume texturé des fruits blancs et des fruits à noyau et énergie tonique des agrumes. On balance sans cesse entre le yin et le yang, dans une sensation d’harmonie et de plénitude. Somptueux.
Tonique, élégant et profond, ce cru des Frionnes offre une complexité et une tension qui subliment ce terroir au sol calcaire friable, dans lequel les racines descendent en profondeur. La vibration pierreuse mais aussi la fraîcheur iodée, le croquant des fruits blancs, le raffinement floral et anisé, l’énergie des agrumes, la persistance : tout force...
Dense mais fuselé, ce cru des Frionnes offre une complexité et une profondeur qui le font d'ores et déjà rivaliser avec de prestigieux crus de Meursault ou Chassagne. La puissance du terroir et de la roche, le volume considérable du fruit et son énergie prodigieuse, autour d’un cortège d’épices, forcent l’admiration
Intense minéralité et puissance fuselée pour ce cru phare situé non loin du grand cru Chevalier-Montrachet : Olivier signe un Remilly profondément ancré dans la roche, aux accents fumés mais aussi iodés, doté d’une incroyable énergie. L’élégance florale, la pureté du fruit et l’expression épicée du sol s’imbriquent comme par magie ! Immense.
Concentré et intense, avec un gros volume de fruit, ce Clos de la Chatenière issu de vieilles vignes est parfaitement maintenu par une belle acidité structurante. Sa chair savoureuse s’enroule autour d’un axe salin, pierreux et iodé, qui lui donne des accents chablisiens. La précision et la vibration de sa finale sont exceptionnelles : un must.
Concentré et intense, avec un gros volume de fruit, ce Clos de la Chatenière issu de vieilles vignes est parfaitement maintenu par une belle acidité structurante. Sa chair savoureuse s’enroule autour d’un axe salin, pierreux et iodé, qui lui donne des accents chablisiens. La précision et la vibration de sa finale sont exceptionnelles : un must.
Elégant et tonique, ce cru offre une intensité de saveurs et une tension au laser qui font honneur aux sols de calcaires coquilliers dans lesquels les racines descendent en profondeur. Entre énergie des fruits à noyau et du citron vert, fraîcheur de la coriandre et du cerfeuil, longueur fuselée, aux accents fumés et salins : tout force l’admiration.
Cet intense Derrière chez Edouard offre un équilibre magistral entre densité et finesse, gourmandise fruitée et minéralité saline, fumée. On se régale de la chair savoureuse et fuselée de la poire, de la pêche blanche et de l’énergie tonique des agrumes. On balance entre le yin et le yang, dans une sensation d’énergie et de plénitude. Grand.
Concentré et expressif, avec un gros volume de fruit, ce Clos de la Chatenière issu de vieilles vignes est parfaitement maintenu par une belle acidité structurante. Sa chair savoureuse s’enroule autour d’un coeur pierreux et empyreumatique très stimulant. La précision, l'énergie et l'élégante vibration de sa finale sont exceptionnelles : un must.
Concentré et sapide en bouche, avec un gros volume de fruit, ce Clos de la Chatenière issu de vieilles vignes, est parfaitement maintenu par une belle acidité structurante. La chair savoureuse du fruit s’enroule autour d’un axe salin, pierreux qui donne à la finale une percussion exceptionnelle. Plein et vibrant, ce Saint-Aubin 1er Cru ira loin.
Olivier a la chance d’exploiter deux petites parcelles sur deux fameux premiers crus de Chassagne-Montrachet, Les Macherelles et Les Chaumées. Ces cuvées extrêmement confidentielles brillent en 2021 d’une puissance fuselée et d’un éclat magnétique inouï. De très grands flacons à encaver au moins 6 ou 8 ans. Collectors absolus.
Intense minéralité, verticalité et rebond pour ce cru phare, non loin du grand cru Chevalier-Montrachet : c'est un vin ancré dans la roche, aux accents fumés et salins, doté d’une incroyable énergie. Entre fraîcheur mentholée, maturité du fruit, éclats de noisette, baie de genièvre et zeste d’orange, ce Remilly à l’allonge spectaculaire possède un...
Taillé pour la garde, cet intense Derrière chez Edouard offre un équilibre magistral entre densité et finesse, gourmandise fruitée et minéralité saline, fumée. On se régale de la chair savoureuse et fuselée de la poire, de la pêche blanche et de l’énergie tonique des agrumes. On balance sans cesse entre le yin et le yang, dans une sensation d’énergie...
Intense et concentré, cet élégant Puligny Les Tremblots se déploie dans un style à la fois tonique et gourmand. Floral et finement mentholé au nez, animé de notes énergisantes de bergamote et de zeste d’orange, il n’oublie pas d’être gourmand avec ses saveurs de pêche blanche acidulée, d’ananas et de fruit de la passion. Charme et fraîcheur : c’est un...
Issu d’un terroir planté à une densité élevée, ce Chassagne parcellaire au-dessous des Champs Gains dévoile une profonde minéralité empyreumatique. On aime sa concentration et sa chair fuselée. Il imbrique les fruits blancs croquants et juteux, la pêche de vigne, le pamplemousse, le citron fumé et les épices. Sa tension fait chanter la pierre.
Expressif et tonique, déployant son intensité fruitée, ce Clos de la Chatenière issu de vieilles sélections massales de 1960 aux petits raisins concentrés, est tendu par une acidité vibrionnante évoquant sorbet au citron vert et rhubarbe. Sa chair savoureuse s’étire le long d’une arête pierreuse et saline salivante. Un must de précision, rarissime...
Intense minéralité, verticalité et rebond pour ce cru phare, non loin du grand cru Chevalier-Montrachet : c'est un vin ancré dans la roche, aux accents fumés et salins, doté d’une incroyable énergie. Entre fraîcheur mentholée, maturité du fruit, éclats de noisette, baie de genièvre et zeste d’orange, ce Remilly à l’allonge spectaculaire possède un...
Taillé pour la garde, cet intense Derrière chez Edouard offre un équilibre magistral entre densité et finesse, gourmandise fruitée et minéralité saline, fumée. On se régale de la chair savoureuse et fuselée de la poire, de la pêche blanche et de l’énergie tonique des agrumes. On balance sans cesse entre le yin et le yang, dans une sensation d’énergie...
Un des crus les plus confidentiels signés Olivier Lamy, c’est aussi l’un des plus denses et gourmands. En 2021, la chair savoureuse évoquant fruits blancs et fruits à noyau, typique du Clos de Meix, s’accompagne d’une sensation de fraîcheur acidulée, d’une tension minérale ciselée qui souligne la sapidité exceptionnelle du vin. Collector.
Elégant et tonique, ce cru des Frionnes offre une intensité de saveurs et une tension au laser qui font honneur aux sols de calcaires coquilliers dans lesquels les racines descendent en profondeur. Entre énergie des fruits à noyau, de la rhubarbe et du citron vert, fraîcheur de la coriandre et du cerfeuil, longueur fuselée, aux accents fumés et salins...
La Princée réunit le meilleur d’une dizaine de parcelles. Magnifique synthèse des qualités du finage de Saint-Aubin, il se distingue par sa subtilité et sa finesse, son extraordinaire fraîcheur, mais aussi la pureté expressive de son fruit. Incroyablement dynamique, animé d’une sapidité pierreuse en finale, il raconte ses origines avec classe et...
Par sa fraîcheur florale et mentholée, sa grâce aérienne et l’éclat de son fruit autour de la poire et de la pêche blanche, par sa fluidité en bouche évoquant une eau de montagne, par sa prodigieuse énergie citronnée et délicatement anisée, et son élan salin en finale, ce Bourgogne Les Chataigniers est grand et surclasse son appellation !
Elégant et tonique, ce cru des Frionnes offre une intensité de saveurs et une tension au laser qui font honneur aux sols de calcaires coquilliers dans lesquels les racines descendent en profondeur. Entre énergie des fruits à noyau, de la rhubarbe et du citron vert, fraîcheur de la coriandre et du cerfeuil, longueur fuselée, aux accents fumés et salins...
Olivier a la chance d’exploiter deux petites parcelles sur deux fameux premiers crus de Chassagne-Montrachet, Les Macherelles et Les Chaumées. Ces cuvées extrêmement confidentielles brillent en 2020 d’une puissance fuselée et d’un éclat magnétique inouï. Deux très grands flacons à encaver au moins 6 ou 8 ans. Collectors absolus.
Intense minéralité et verticalité pour ce cru phare, non loin du grand cru Chevalier-Montrachet : Olivier signe un vin ancré dans la roche, aux accents fumés et salins, doté d’une incroyable énergie. Entre fraîcheur mentholée, maturité du fruit, éclats de noisette et épices raffinées, ce Remilly à la longueur spectaculaire possède un potentiel...
Taillé pour la garde, cet intense Derrière chez Edouard offre un équilibre magistral entre densité et finesse, subtile sensualité et minéralité pierreuse, fumée, volume texturé des fruits blancs et des fruits à noyau et énergie tonique des agrumes. On balance sans cesse entre le yin et le yang, dans une sensation d’harmonie et de plénitude. Grand vin
Frais, élégant et profond, ce cru des Frionnes offre une complexité et une tension qui font honneur à ce terroir aux sols calcaires friables, dans lesquels les racines descendent en profondeur. La puissance de la roche mais aussi la fraîcheur iodée, la finesse anisée des herbes fines, l’énergie des agrumes, la belle longueur fuselée : tout ici force...
Intense et concentré, ce puissant Puligny Les Tremblots se déploie dans un style tonique, fumé, autour d’un volume considérable de fruits. Le style d’Olivier est bien là, l’identité du terroir aussi. L’âge des vignes et la parfaite maturité du millésime ajoutent un supplément de chair ample et savoureuse, aux accents de poire et de pomme verte. Un...
Issu d’un terroir précoce planté à une densité élevée, ce Chassagne dévoile une profonde minéralité aux notes fumées et empyreumatiques. On aime sa concentration, sa densité fruitée en bouche. Il imbrique à merveille les fruits blancs croquants et juteux, la pêche de vigne, le pamplemousse et les épices. Sa tension finale fait chanter la pierre.
Climat "star" de Saint-Aubin, ce terroir au sol pauvre et très calcaire se distingue par l'intensité minérale et la puissance qu'il donne aux vins. Les saveurs sont concentrées, la texture est dense mais serrée, tendue par l’expression du sol, épicée, saline et vibratoire. Un grand vin, à la persistance phénoménale, qui règne au sommet de...
Concentré et expressif, avec un gros volume de fruit, ce Clos de la Chatenière issu de vieilles vignes est parfaitement maintenu par une belle acidité structurante. Sa chair savoureuse s’enroule autour d’un coeur pierreux et empyreumatique très stimulant. La précision, l'énergie et l'élégante vibration de sa finale sont exceptionnelles : un must.
Intense minéralité et verticalité pour ce cru phare, non loin du grand cru Chevalier-Montrachet : Olivier signe un vin ancré dans la roche, aux accents fumés et salins, doté d’une incroyable énergie. Entre fraîcheur mentholée, maturité du fruit, éclats de noisette et épices raffinées, ce Remilly à la longueur spectaculaire possède un potentiel...
Taillé pour la garde, cet intense Derrière chez Edouard offre un équilibre magistral entre densité et finesse, subtile sensualité et minéralité pierreuse, fumée, volume texturé des fruits blancs et des fruits à noyau et énergie tonique des agrumes. On balance sans cesse entre le yin et le yang, dans une sensation d’harmonie et de plénitude. Grand vin
Un des crus les plus confidentiels signés Olivier Lamy, c’est aussi l’un des plus sensuels et gourmands. Belle réussite pour ce Clos de Meix charnu, équilibré, animé d’une splendide tension minérale. On aime le fruit autour de la prune et des fruits à noyau, l'équilibre parfait entre gras et fraîcheur acidulée, et le potentiel de garde : tout y est !
Frais, élégant et profond, ce cru des Frionnes offre une complexité et une tension qui font honneur à ce terroir au sol calcaire friable, dans lequel les racines descendent en profondeur. La puissance de la roche mais aussi la fraîcheur iodée, la finesse anisée des herbes fines, l’énergie des agrumes, la belle longueur fuselée : tout ici force...
La Princée réunit le meilleur d’une dizaine de parcelles. Magnifique condensé des qualités du finage de Saint-Aubin et de la capacité d’Olivier à les révéler, il se distingue par sa subtilité et sa finesse, son extraordinaire fraîcheur, mais aussi la pureté expressive de son fruit. Incroyablement dynamique, il raconte ses origines avec une classe...
Par sa fraîcheur citronnée et sa pureté aromatique, son éclat lumineux, sa fluidité en bouche évoquant une eau de montagne, par sa fabuleuse énergie autour des agrumes et de notes épicées toniques, par la percussion saline de sa finale imprégnée par la roche : ce Bourgogne Les Chataigners est grand et surclasse largement son appellation !
Ample et généreux en bouche, très sapide, ce Clos de la Chatenière est parfaitement maintenu par une belle acidité structurante. Sa minéralité percutante apporte de l'énergie et prolonge la finale sur la craie et les agrumes. Un des vins de la gamme les plus expressifs dans son jeune âge, mais doté d'une belle capacité de garde.
Grande classe pour ce cru phare de l’appellation, situé non loin du grand cru Chevalier-Montrachet : Olivier Lamy signe cette année un vin intense et lumineux, doté d’une incroyable énergie. Ici, l’élégance florale, la pureté du fruit et l’expression fumée et épicée des sols s’imbriquent comme par magie ! Un grand vin, tout simplement.
Concentré et sapide en bouche, avec un gros volume de fruit, ce Clos de la Chatenière issu de vieilles vignes, est parfaitement maintenu par une belle acidité structurante. La chair savoureuse du fruit s’enroule autour d’un axe salin, pierreux qui donne à la finale une percussion exceptionnelle. Plein et vibrant, ce Saint-Aubin 1er Cru ira loin.
Le bel ensoleillement de l’été 2018 sur ce terroir caillouteux, exposé au levant et traditionnellement tardif, fait des merveilles : résolument frais et minéral au nez, ce 1er Cru se montre dense et énergique en bouche. Il réconcilie les contraires avec un naturel confondant! Concentré et vibrant, doté d'un fruit éclatant, il nous met en appétit !
Dense et compact à ce stade, ce cru des Frionnes offre une complexité et une profondeur qui le feront rivaliser, d’ici 7 ou 8 ans, avec de prestigieux crus de Meursault ou Chassagne ! La puissance du terroir et de la roche, le volume considérable du fruit et l’énergie prodigieuse qu'il dégage, autour d’un cortège d’épices, forcent l’admiration
Intense et ciselé, ce magnifique Puligny Les Tremblots se déploie dans un style raffiné, frais et aérien, mais aussi délicieusement fruité. Le style d’Olivier Lamy est bien là, l’identité du terroir aussi. L’âge des vignes et la concentration du millésime ajoutent un irrésistible supplément de chair savoureuse. L’imprégnation saline est vibrante.
Issu d’un terroir précoce planté à haute densité, ce Chassagne exprime une intense minéralité, sur des notes fumées et empyreumatiques. On aime sa concentration et sa densité fruitée en bouche. Particulièrement savoureux, il imbrique à merveille les fruits blancs, les fruits à noyau et les épices. Sa tension finale fait chanter la pierre. Superbe.
Concentré et intense, avec un gros volume de fruit, ce Clos de la Chatenière issu de vieilles vignes est parfaitement maintenu par une belle acidité structurante. Sa chair savoureuse s’enroule autour d’un axe salin, pierreux et iodé, qui lui donne des accents chablisiens. La précision et la vibration de sa finale sont exceptionnelles : un must.
Intense minéralité et puissance fuselée pour ce cru phare situé non loin du grand cru Chevalier-Montrachet : Olivier signe un Remilly profondément ancré dans la roche, aux accents fumés mais aussi iodés, doté d’une incroyable énergie. L’élégance florale, la pureté du fruit et l’expression épicée du sol s’imbriquent comme par magie ! Immense.
S’il réclame du temps pour se donner dans toute sa complexité, ce superbe Derrière chez Edouard offre un équilibre magistral entre charme et délicatesse, subtile sensualité et intensité pierreuse, volume enveloppant des fruits blancs et énergie tonique des agrumes. On balance entre le yin et le yang dans une sensation d’harmonie parfaite. Grand vin
Dense et compact à ce stade, ce cru des Frionnes offre une complexité et une profondeur qui le feront rivaliser, d’ici 7 ou 8 ans, avec de prestigieux crus de Meursault ou Chassagne ! La puissance du terroir et de la roche, le volume considérable du fruit et l’énergie prodigieuse qu'il dégage, autour d’un cortège d’épices, forcent l’admiration
La Princée réunit le meilleur d’une dizaine de parcelles. Il nous offre un magnifique condensé des qualités du finage de Saint-Aubin et de la capacité d’Olivier à les révéler. Extraordinaire fraîcheur et distinction florale, générosité et concentration fruitée, empyreumatisme épicé venu des sols calcaires, ce vin raconte ses origines avec brio.
Par sa fraîcheur minérale et sa pureté aromatique, son éclat lumineux, sa fluidité en bouche évoquant l’eau vive d’une source de montagne, par sa fabuleuse énergie interne autour des agrumes et de notes épicées toniques, la percussion de sa finale profondément imprégnée par la roche calcaire : ce Bourgogne Les Chataigners est grand !
Intense et ciselé, ce magnifique Puligny Les Tremblots se déploie dans un style incroyablement raffiné et aérien, tout en verticalité. Le style d’Olivier Lamy est bien là, l’identité du terroir aussi. En outre, l’âge avancé des vignes apporte une concentration aromatique et une imprégnation minérale et épicée hors norme. Superbe de bout en bout.
Concentré et sapide en bouche, avec un gros volume de fruit, ce Clos de la Chatenière issu de vieilles vignes, est parfaitement maintenu par une belle acidité structurante. La chair savoureuse du fruit s’enroule autour d’un axe salin, pierreux qui donne à la finale une percussion exceptionnelle. Plein et vibrant, ce Saint-Aubin 1er Cru ira loin.
Si ce Chassagne issu d’un terroir précoce planté à haute densité exprime toujours une intense minéralité, sur des notes fumées et empyreumatiques, on aime aussi sa concentration crémeuse en entame. Dense et savoureux, ce 2018 est exaltant : sa tension interne fait chanter la pierre. Sa persistance est bluffante, au niveau d'un 1er Cru.
Grande classe pour ce cru phare de l’appellation, situé non loin du grand cru Chevalier-Montrachet : Olivier Lamy signe cette année un vin intense et lumineux, doté d’une incroyable énergie. Ici, l’élégance florale, la pureté du fruit et l’expression fumée et épicée des sols s’imbriquent comme par magie ! Un grand vin, tout simplement.
Nous tenons avec ce superbe Derrière chez Edouard, intense, élégant et profond, remarquablement balancé entre l'énergie de son fruit et une minéralité ciselée, un sommet de la collection : nul doute que ce prodigieux Saint-Aubin pourra, d’ici quelques années, aller « chatouiller » pas mal de Premiers Crus de Puligny pourtant réputés « mieux nés » !
Le bel ensoleillement de l’été 2018 sur ce terroir caillouteux, exposé au levant et traditionnellement tardif, fait des merveilles : résolument frais et minéral au nez, ce 1er Cru se montre dense et énergique en bouche. Il réconcilie les contraires avec un naturel confondant! Concentré et vibrant, doté d'un fruit éclatant, il nous met en appétit !
En 2018, La Princée, qui réunit le meilleur d’une dizaine de petites parcelles, nous offre un magnifique condensé des qualités du finage de Saint-Aubin. La profondeur fruitée, la fraîcheur délicatement iodée, la verticalité minérale et saline, les épices stimulantes, la tension et l’allonge en bouche : tout y est ! Impressionnant de maîtrise.
On démarre fort avec ce Bourgogne Les Châtaigniers : sa pureté aromatique, son élégance, la densité de sa finale et son incroyable persistance en bouche, sur des évocations de fruits blancs et d’herbes fines, nous ont bluffés ! Voici l’introduction idéale pour mesurer la réussite exceptionnelle du millésime 2018 chez Olivier Lamy !
Si ce Chassagne exprime toujours une intense minéralité, sur des notes fumées et une belle finale saline et empyreumatique, on aime aussi la rondeur du fruit mûr et d’une nuance de miel, et cette texture plus ample et huileuse que sur d’autres vins. La bouche est dense, très savoureuse, baignée d’une belle pureté d’eau et de fruit. Irrésistible.
Furieusement « puligny », Les Tremblots se déploie dans un style vertical, avec ce bel équilibre entre une grosse densité de texture (l’âge des vignes n’y est pas pour rien !) et cette finesse, cette énergie qu’apporte la tension du milieu de bouche. On aime le superbe éclat du fruit et l’exquise minéralité poudrée qu’il dépose sur les papilles.
Climat "star" de Saint-Aubin, ce terroir au sol pauvre et très calcaire se distingue par l'intensité minérale et la puissance qu'il donne aux vins. Les saveurs sont concentrées, la texture est riche, mais toujours soutenue et tendue par l’expression du sol, épicée, saline, vibratoire sur le palais. Un grand vin qui règne au sommet de l’appellation.
Ample et généreux en bouche, très sapide et doté d'un gros volume de fruit, ce Clos de la Chatenière est parfaitement maintenu par une belle acidité structurante. Sa minéralité percutante apporte de l'énergie et prolonge la finale sur la craie et les agrumes. Un des vins de la gamme les plus expressifs aujourd'hui... et pour longtemps !
Grande classe pour ce cru phare de l’appellation, situé non loin du grand cru Chevalier-Montrachet : Olivier Lamy signe un vin particulièrement complet, alliant densité de texture, élégance florale et minéralité vibrante et profonde. Equilibre parfait entre le fruit et l’expression intense et ciselée du sol. Du grand art, sans esbroufe.
Le caractère précoce et ensoleillé du millésime 2017 sur ce terroir très caillouteux et traditionnellement tardif fait des merveilles : résolument frais et minéral au nez, ce 1er Cru se montre énergique et caressant en bouche. Il réconcilie les contraires avec un naturel confondant! Concentré et vibrant, doté d'un fruit éclatant, il nous met en appétit...
Nous tenons avec ce superbe Derrière chez Edouard, intense et raffiné, un des sommets de la gamme ! On adore sa minéralité percutante, d’une précision chirurgicale, qui s’exprime sur des notes d’abord empyreumatiques puis plus fraîches et maritimes. De l’élan, de l’élégance, de l’intensité et de la profondeur : tout est là, pour longtemps !
Difficile de résister au charme de ce vin expressif, énergique et très subtil. Le bouquet s’ouvre sur des arômes purs de caillou frotté, d’essence d’agrumes, de petites fleurs blanches, de feuille de citronnelle, d’anis et de poire, accompagnés d’une touche maritime nous emmenant presque du côté d’un grand terroir chablisien. Superbe.
Quelle précision ! Quelle complexité ! Bouquet expressif et sophistiqué, bouche fluide et scintillante, finale portée par une fine minéralité, voici le Bourgogne qui plaira autant aux puristes les plus exigeants de la « grande » Bourgogne qu’aux novices curieux, désireux de goûter au charme et à la classe d’un blanc de Saint-Aubin signé par Olivier...
Les quelques années passées dans les caves du Domaine ont permis à ce Magnum En Remilly d’affirmer sa structure minérale qui « claque » aujourd’hui au nez comme en bouche. Intense, soyeux en attaque, puissant et vertical ensuite, il fait honneur à son terroir et au style ciselé et pur des vins d’Olivier Lamy. Un must.
Si ce Chassagne exprime une vraie minéralité (sur des notes fumées et une belle finale saline), ce sont ici les fruits et les épices douces qui dominent, apportant au vin une touche résolument gourmande. A la fois dense et cristallin, mûr et frais, ce "Concis du Champ" nous invite à déguster un poisson en sauce, comme une lotte au safran.
Cette parcelle de vignes plantées entre 1930 et 1970 donne un Puligny de grande classe, tendu, vertical, délicatement "poudré" et salin. Silex frotté, fruits blancs, mandarine, épices, quelques discrètes notes beurrées : il se livre peu à peu dans un style épuré et soyeux et appelle de beaux produits de la mer.
Climat "star" de Saint-Aubin, ce terroir au sol pauvre et très calcaire se distingue par l'intensité minérale et la puissance qu'il donne aux vins. Superbe illustration avec ce "Murgers" 2016 où la tension minérale se marie parfaitement à la belle concentration du millésime. Un grand vin à attendre au moins 3 voire 5 ans.
Ample et généreux en bouche, très sapide, ce Clos de la Chatenière est parfaitement maintenu par une belle acidité structurante. Sa minéralité percutante apporte de l'énergie et prolonge la finale sur la craie et les agrumes. Un des vins de la gamme les plus expressifs dans son jeune âge, mais doté d'une belle capacité de garde.
Très grande classe pour ce Saint-Aubin de haut vol, voisin des grands crus de Chassagne : on sent bien l’énergie et la puissance tirée du sous-sol, cette belle vibration minérale. Quelques années en cave renforceront cette sensation de profondeur et surtout, la superbe harmonie entre le fruit et le minéral, entre le soleil et la terre. Un must.
S’il est encore jeune, on sent poindre en bouche une profondeur et une puissance contenue qui nous font dire que ce vin ira loin. Droit et ciselé, porté par l’énergie considérable que le sol lui a donnée, ce 1er Cru Derrière chez Edouard, vibratoire dans sa finale, mérite impérativement de séjourner quelques années en cave.
Fidèle au style "Lamy" et à la carte d'identité du millésime, ce Saint-Aubin se montre à la fois concentré, vif et tendu. Très pur dans son bouquet floral et frais, il allie un fruit savoureux à une minéralité énergique et saline en bouche. A attendre 3 ans pour que ses angles s'arrondissent et qu'il se livre pleinement.
Aux parcelles de hauts de coteau traditionnellement dévolues au Bourgogne, Olivier a ajouté en 2016 des raisins issus de certains premiers crus de Saint-Aubin et Chassagne : le résultat impressionne par son éclat, sa précision chirurgicale et sa profondeur. Un vin de puriste, comme on en rencontre rarement dans l'appellation régionale.
Climat "star" de Saint-Aubin, ce terroir au sol pauvre et très calcaire se distingue par l'intensité minérale et la puissance qu'il donne aux vins. Superbe illustration avec ce "Murgers" 2015 à la texture riche, parfaitement soutenue par l'expression du sol, épicée, saline et vibratoire. Un grand vin qui règne au sommet de l'appellation.
Située non loin du célèbre Bâtard-Montrachet, cette parcelle Les Tremblots donne un Puligny de grande classe, à la texture soyeuse et minérale, d'une belle finesse de style. Fruits blancs, agrumes, épices, quelques discrètes notes beurrées : un très beau Puligny-Montrachet, précis, pur et salin qui appelle de beaux produits de la mer.
Comme toujours avec les Lamy, voici un Chassagne-Montrachet fin et élégant, mais aussi dense et très savoureux en bouche. Ici, les très beaux fruits blancs et les notes épicées invitent clairement à la gastronomie. La pureté et la profondeur du vin appellent de grands plats, agrémentés d'une pointe d'épices. Tout simplement irrésistible...
Grande sapidité, profondeur, superbe générosité en bouche, énorme allonge sur des arômes minéraux de craie, de graphite et de fin amers citronnés… tout est déjà parfaitement en place sur ce trés beau 2015. Un grand vin, à déguster après une bonne aération, ou mieux, à attendre en cave pendant au moins 5 ans!
Très grande classe pour ce Saint-Aubin de haut vol, voisin des grands crus de Chassagne : on sent bien l’énergie et la puissance tirée du sous-sol, cette belle vibration minérale. Quelques années en cave renforceront cette sensation de profondeur et surtout, cette superbe harmonie entre le fruit et le minéral, entre le soleil et la terre. Un must.
Un vin très "couture", aux antipodes de certains bourgognes un peu "lourds" goûtés en 2015 : ici, nous sommes dans l'élégance pointue et précise, entre notes fumées, épices, zestes et un beau fruit croquant et juteux. Fermeté, tension et équilibre : la beauté se niche dans le moindre détail... Une des très belles réussites de l'appellation en 2015.
Ce Saint-Aubin 2015 est un modèle du genre : maturité, fraîcheur et tension se conjuguent parfaitement, au service d'une minéralité affirmée, entre pierre à fusil et notes iodées. On retrouve là tout le charme du chardonnay bourguignon et la science de l’élevage d’Olivier Lamy. Une belle entrée en matière dans un millésime particulièrement réussi !
Située non loin du célèbre Bâtard-Montrachet, cette parcelle Les Tremblots donne un Puligny de grande classe, à la texture soyeuse et minérale, d'une grande finesse de style. Fruits blancs, agrumes, épices, quelques discrètes notes beurrées : Olivier Lamy a tout compris! Nous adorons...
Comme toujours avec les Lamy, voici un Chassagne-Montrachet fin et élégant, mais aussi très savoureux en bouche. Ici, les très beaux fruits blancs et les notes épicées invitent clairement à la gastronomie. La pureté et la profondeur du vin appellent de grands plats, agrémentés d'une pointe d'épices. Tout simplement irrésistible...
Un concentré de minéralité marine et de fruits pour ce superbe 1er Cru solaire et vibrant en bouche. Equilibre parfait entre densité et tension, mais aussi le feu et l'eau. Le Clos de la Chatenière est pour nous un modèle du genre, un très grand Bourgogne, profond, ciselé, qui vous emportera très loin et très haut!
Très grande classe (et belle garde en perspective) pour ce voisin des mythiques grands crus Chevalier et Criots-Bâtard Montrachet : Olivier Lamy réussit en 2014 un vin particulièrement complet, alliant densité presque crémeuse et finesse minérale. Equilibre parfait entre le fruit et l’incroyable minéralité. Du grand art, sans esbroufe.
Un vin très "couture", aux antipodes de certains bourgognes gras et tapageur : ici, l'élégance est sobre et fluide, entre notes fumées, épices et un très beau fruit croquant et juteux. Précision, fermeté, tension et équilibre : la beauté se niche dans le moindre détail... Nous sommes conquis!
Ce Saint-Aubin village est, pour nous, un modèle du genre : maturité et fraîcheur se conjuguent parfaitement, au service d'une minéralité affirmée, entre pierre à fusil et notes iodées. On retrouve là toute la magie du chardonnay bourguignon et la science de l’élevage d’Olivier Lamy. Un grand vin… au prix abordable !
Le plus rare des grands crus bourguignons : 1.57 ha. Le domaine ne produit que 300 bouteilles par an. Le nez s’ouvre sur des arômes de poire et de fruits secs (noisettes). La bouche est fraîche, dynamique, avec une énorme intensité minérale, persistance phénoménale. Un vin exceptionnel.
Située non loin du célèbre Bâtard-Montrachet, cette parcelle Les Tremblots donne un Puligny de grande classe, à la texture soyeuse et minérale, d'une grande finesse de style. Fruits blancs, agrumes, épices, quelques discrètes notes d'élevage : Olivier Lamy a tout compris!
Comme toujours avec les Lamy, voici un Chassagne-Montrachet très fin et élégant, dominé par de beaux fruits blancs et des notes épicées qui invitent à la gastronomie. La pureté du vin appelle de grands plats. Tout simplement irrésistible...
Ce 1er Cru En Remilly jouxte les vignes du Grand Cru Chevalier-Montrachet...et ça se sent dans le verre! Très grande classe et belle garde en perspective : Olivier Lamy réussit un vin alliant densité crémeuse et finesse minérale. Equilibre parfait entre le fruit et l’incroyable minéralité. Du grand art, sans esbroufe.
Un concentré de minéralité presque crayeuse et de fruits pour ce superbe 1er Cru solaire. Equilibre parfait entre densité et tension. Le Clos de la Chatenière est pour nous un modèle du genre, un très grand Bourgogne!
Un grand bourgogne, tout en subtilité, d'une sobre élégance, avec ces notes florales, puis épicées... Vient ensuite la profondeur d'une bouche extraordinairement minérale. Un très beau vin pour magnifier une sole grillée par exemple...
Rares sont les saint-aubins aussi expressifs dans ce millésime 2013! La bouche se régale du fruit bien mûr, de saveurs lactiques légères et gourmandes, et de cette subtile minéralité qui ne cesse de s'étendre... Et surtout, conservez quelques bouteilles en cave : l'avenir s'annonce radieux!
Grande réussite pour ce premier cru à la fois minéral et solaire. Très beau fruit, équilibre parfait en bouche entre gras et fraîcheur minérale, grand potentiel de garde. Tout y est, à condition de savoir être patient (le carafage est indispensable aujourd'hui).
Ce Saint-Aubin village est, pour nous, un modèle du genre : équilibre parfait, pureté des arômes, cohérence entre nez et bouche et longue finale minérale. On retrouve là toute la magie du chardonnay bourguignon et la science de l’élevage d’Olivier Lamy. Un grand vin… au prix abordable !